PSYCHOLOGIE TRANSPERSONNELLE ET PHYSIQUE

Interview de Chantal Attia
Par Marion Picard pour la maison d’Edition Macrolivre

Définition de la psychologie transpersonnelle 

Vous êtes une spécialiste de la psychologie transpersonnelle. De quoi s’agit-il ?

La psychologie transpersonnelle se différencie de la psychologie classique par le fait qu’elle considère une continuité de la vie. C’est donc un regard radicalement différent qui est posé sur l’être humain. Il n’est plus considéré comme un « animal » même supérieur mais comme une entité vivante animée d’une Conscience qui est son Essence véritable et porteuse de sa continuité de vie. Autrement dit la psychologie transpersonnelle considère une dimension spirituelle, trans-personnel(le) : au-delà de la personne ou personnalité. Cette Conscience, Essence véritable de l’être humain est encore appelée le Soi, l’Etre intérieur ou encore l’Ame. C’est vraiment une manière totalement différente de COMPRENDRE l’être humain et donc par le fait même ses EXPÉRIENCES DE VIE.

Dans la psychologie transpersonnelle il n’y a pas de critères de normalité, il n’y a pas non plus de « bonnes » ou de « mauvaises » expériences de vie. Il n’y a que des apprentissages. La Vie dans sa continuité est considérée comme un processus de développement et de croissance. Ainsi l’être humain porteur de cette Vie, autant qu’il y participe, intègre en lui, de par son Essence même, cette continuité, ce développement et cette croissance.

Dans la mesure où la psychologie transpersonnelle considère les expériences de vie comme des apprentissages, il s’agit plus d’apprendre et d’acquérir de nouvelles manières de se voir, de fonctionner et de se comporter dans sa vie. La psychologie transpersonnelle intègre donc en toute logique une psychologie qui concerne les processus d’apprentissages.

Mais, s’il n’y a pas de critères de « bonnes » ou « mauvaises » expériences de vie, pas de critères de normalité, on peut se poser la question : qu’est ce qui fait alors office de référentiel ?

Réponse : l’Essence, le Soi, de l’individu lui-même, cette dimension plus grande que la personnalité toujours présente (même si l’individu n’en est pas conscient et/ou ne sait pas l’utiliser).

Réponse : le bien-être.

On entre là dans la dimension physiologique de l’être humain par le fait même que le bien-être est un ressenti qui passe par le corps. On se sent bien ou on ne se sent pas bien. Ainsi la psychologie transpersonnelle, qui s’accorde avec la définition de l’OMS qui définit « la santé comme un état de bien-être complet » est donc autant une approche physiologique que psychologique. A l’heure où l’on parle de plus en plus d’approches holistiques la psychologie transpersonnelle est par ses fondements même une approche globale puisqu’elle ne peut se concevoir sans considérer le corps. La psychologie transpersonnelle par son référentiel de bien-être est une psychologie de la santé, si ce n’est la seule véritable psychologie de la santé.

L’individu qui consulte un praticien transpersonnel n’est pas considéré comme malade (il n’est d’ailleurs pas appelé « patient ») mais comme présentant un conflit entre sa personne et son Essence ou Etre intérieur ou Ame. C’est ce conflit qui crée les mal-êtres et les symptômes physiques, que l’on peut globalement appelés symptômes de détresse. La relation qui se crée entre le thérapeute ou plus généralement praticien transpersonnel et la personne qui le consulte a pour but de rétablir la paix intérieure, l’harmonie, l’équilibre, la clarté entre l’Essence de l’individu, le Soi, son Etre profond et sa « personnalité » dans ce qu’il vit dans son quotidien.

Ce qui distingue l’être humain de l’animal c’est sa dimension créatrice. La prise en compte de cette dimension créatrice est essentielle dans l’approche transpersonnelle qui s’apparente à un accompagnement de l’individu, être humain-créateur, qui chercherait à exprimer son plein potentiel, à devenir l’être qu’il est « vraiment » en harmonie avec lui-même et les autres dans une société telle qu’elle est ici et maintenant et le quotidien qui va avec.

Lien entre psychologie transpersonnelle et science

Comment les approches bioénergétiques s’articulent-elles avec l’approche transpersonnelle que vous pratiquez ?

Une médecine qui voudrait correspondre et/ou compléter la psychologie transpersonnelle devrait être une médecine qui devrait elle aussi considérer l’être humain avec une dimension d’Essence véritable, de continuité de vie au-delà de la personne, au-delà du visible. Seules les approches basée sur la PHYSIQUE dites « énergétiques » correspondent à cette vision de l’être humain.

Les médecines « énergétiques », premières médecines qui ont existé avant même la médecine moderne, sont ancestrales. Ainsi l’Ayurveda, « science de la vie », la médecine traditionnelle indienne qui remonte à plus de 5000 ans. Cette médecine considère la circulation de l’Energie Vitale par l’intermédiaire des « roues énergétiques » appelées « chakras ». Ainsi la médecine traditionnelle chinoise qui remonte à plus de 1000 ans avant Jésus-Christ dans laquelle tout dans l’univers est mû par une force fondamentale, une énergie appelée Qi, unique composante fondamentale de tout ce qui nous entoure et nous constitue en tant qu’être humain.

Là où le vocabulaire de la psychologie transpersonnelle utilise les termes Essence, Soi ou Ame le vocabulaire des approches énergétiques utilisent les termes d’Energie Vitale, de Qi ou de prana. Faute de bien les comprendre, tant elles ne se limitent pas au corps mais englobent aussi une conception globale de la vie, ces médecines traditionnelles ont souvent été considérées, en occident, uniquement comme symboliques et/ou dénigrées. Ce sont les progrès de la science moderne, sa meilleure connaissance de la nature énergétique de la matière qui font redécouvrir en occident la précision, la justesse et la valeur inestimable de ces médecines traditionnelles ancestrales.

Nous sommes au XXIième siècle, chacun conviendrait facilement qu’il serait aberrant de donner aujourd’hui un cours de chimie avec les connaissances du moyen âge sous prétexte que c’est au moyen âge qu’on a découvert tel ou tel principe. La médecine progresse constamment. Aujourd’hui, des examens comme des « IRM », des « scanners », l’utilisation des lasers, toutes techniques basées sur despropriétés ÉNERGÉTIQUES et VIBRATOIRESde la matière, sont tellement courants que personne n’imagine plus sans passer. La médecine actuelle qui rejoint de fait les médecines ancestrales, est donc déjà une médecine énergétique, même si ni les médecins, ni les patients ne pensent en ces termes.

Ce qu’il faut comprendre c’est que la formation d’un médecin s’appuie sur la cellule comme étant « la brique » du corps humain tandis pour le physicien/physico-chimiste « la brique » du corps humain est le constituant de la cellule elle-même, c’est-à-dire l’atome et au-delà de l’atome en lui-même, les fréquences vibratoires, l’espace et le temps aussi. C’est cette différence de vision de la matière qui crée une incompréhension entre le biologiste, le médecin classique et les praticiens énergétiques. Il ne fait aucun doute que la médecine de demain sera une « électro-médecine ». En attendant, que cette médecine nouvelle s’inscrive complètement dans notre réalité quotidienne, il nous faut nous aider avec les apports des médecines énergétiques ancestrales, qui sont parfaitement codifiées depuis des siècles, tout en les éclairant bien sûr avec les apports de la science moderne.

Pour qui 

La psychologie transpersonnelle est-elle plus particulièrement destinée à certaines personnes ?

Absolument pas. Je reçois en consultation de nombreuses personnes qui ne portent aucune attention à la dimension transpersonnelle. La relation d’aide reste toujours et en premier lieu une relation humaine dont le premier critère, aussi bien pour la personne qui consulte que pour le praticien, est le sentiment de se sentir bien l’un avec l’autre. Les demandes des personnes qui s’adressent à moi sont : « (j’en ai marre maintenant) je veux que cela change dans ma vie, je veux aller de l’avant, je veux me sentir bien, je veux débloquer cette situation… ». Elles veulent sortir des approches classiques où on doit rencontrer son thérapeute régulièrement pendant plusieurs mois ou plusieurs années.

Ce qui importe surtout de bien comprendre c’est que l’approche transpersonnelle est un processus actif. Les personnes qui me consultent savent que c’est à elles qu’il reviendra de mettre en pratique ce que nous avons vu ensemble pour qu’elles puissent concrétiser et vivre les changements qu’elles désirent dans leur vie.

L’approche transpersonnelle par ses fondements même intègre une compréhension globale de la vie : la vie est faite pour être vécue et non pour la passer en thérapie. Tous, à un moment ou à un autre, nous rencontrons des difficultés dans notre vie. L’approche transpersonnelle se place dans ces étapes de difficultés que nous avons à traverser, de défis que nous avons à relever dans nos vies, telles qu’elle se présente ici et maintenant, dans la conscience d’autant d’étapes d’apprentissage, de développement et de croissance vers notre réalisation.

Une approche très pragmatique et concrète

A vous écouter, votre approche semble très pragmatique et concrète.

Tout à fait. De nombreuses informations circulent ici et là sur internet qui donnent une vision erronée de la psychologie transpersonnelle. Elle a vraiment pour but d’aider l’individu dans sa vie de tous les jours, dans ce qu’elle a de plus quotidien et pas seulement comme on peut le lire de « répondre à des besoins de transcendance ». En se souvenant que l’approche transpersonnelle s’apparente à un processus d’apprentissage et de développement, on peut comprendre alors que cette transcendance recherchée par quelques uns passe par la résolution de ses difficultés concrètes de vie au quotidien. Ainsi de la résolution d’une difficulté à une autre, d’une intention à une autre, l’individu peut arriver par un cheminement très pragmatique et sans s’illusionner sur lui-même et sa réalisation, à la plus haute réalisation de soi/Soi.

Le présent Ici et Maintenant

Indubitablement vous êtes davantage intéressée par l’expérience présente du patient que par son passé. C’est une attitude très peu conventionnelle en regard des dogmes de la psychologie. Pourquoi cette approche ?

Parce que l’approche qui consiste à considérer le passé d’un individu pour comprendre son présent est tout simplement erronée ! Je suis une scientifique de formation de base, l’histoire des sciences est remplie d’idées auxquelles on a cru durant des siècles et qui se sont avérées fausses. C’est peut-être pour cette raison que j’ose plus facilement affirmer que cette idée qui, dans le monde la psychologie mais aussi de certaines approches alternatives, veut que la solution se trouve dans le passé est erronée.

C’est le corps qui donne la clé. Le corps fonctionne au présent et uniquement au présent. Le renouvellement cellulaire se fait au présent, les constants équilibres physico-chimiques se font au présent, les influx énergétiques, qui du cerveau au corps et du corps au cerveau, transmettent les informations se font au présent. Absolument tout le fonctionnement du corps se fait au PRÉSENT. C’est ce qui est d’ailleurs si fascinant dans l’étude du corps : cet équilibrage et ce renouvellement permanent. Pour le corps le passé n’a pas de réalité. Il vit au présent. Pour le corps le futur n’a pas de sens. Il vit au présent. Tout est ici et maintenant.

Quand un individu a une difficulté maintenant, la raison de sa difficulté est dans son MAINTENANT sinon il n’aurait pas cette difficulté maintenant.

L’être humain est ainsi conçu qu’il conserve l’enregistrement de toutes les expériences qu’il a vécues, les bonnes comme les moins bonnes, les expériences les plus merveilleuses comme les pires drames. Cela constitue une sorte d’immense banque de données qui S’ACTUALISE EN PERMANENCE, au PRÉSENT, toujours, puisque le corps, l’Etre, ne se vit qu’au présent. Le mental de l’être humain qui est une utilisation du cerveau et non quelque chose de physiologique. Le « mental », lui, peut « jouer » avec le temps. C’est par cette capacité mentale que nous avons, que nous, pouvons envisager  un « futur » (qui n’est qu’un autre présent) et le créer (« un jour je vais me marier »,  » un jour j’aurais des enfants », « un jour j’aurais ma maison » etc.). Par cette capacité dont nous disposons tous sans exception, nous pouvons envisager, selon notre personnalité unique, tous les SCENARIOS futurs que nous voulons ( « un jour je traverserais l’atlantique à la rame en solitaire », « un jour je planterais des tomates dans ce désert » etc.). C’est aussi par cette capacité mentale que nous pouvons regarder nos expériences passés : les bonnes et les moins bonnes.

A considérer le passé pour résoudre son présent plusieurs points d’achoppements apparaissent :

Le premier est que nous reconstruisons constamment notre passé à la lumière de notre présent. Exemple : à 12 ans j’ai vécu dans un environnement qui était ce qu’il était. A 25 ans j’ai appris ce qu’était le confort ce que je ne connaissais pas à 12 ans. Si je regarde mon passé à partir de ce que je sais maintenant sur le confort je le déformerais obligatoirement.

Le second c’est qu’à vouloir chercher dans le passé la raison d’un problème maintenant l’individu se focalise essentiellement sur ce qui n’a pas été, ce qui a pu se passer de mauvais ou de non adéquat dans sa vie. Là encore c’est déformer son histoire puisque l’histoire d’un individu n’est pas faite que de mauvaises choses et de problèmes, loin de là. Dans cette mémoire, banque de données gigantesque dont l’ être humain est doté, il y a aussi des solutions, on peut même avancer qu’il y a bien plus de solutions que de problèmes. En conséquence l’individu peut finir par avoir peur de regarder en lui tant la psychologie classique l’habitue à chercher ce qui n’aurait pas été. A entendre sans arrêt que la réponse à ses problèmes est dans un passé qui aurait été ou n’aurait pas été ceci ou cela, l’individu finit par être insécurisé et n’ose pas consulter pour recevoir une aide qui lui serait précieuse dans ce qu’il vit ici et maintenant.

Dans l’approche transpersonnelle la focalisation est sur une banque de données intérieure qui donne des solutions. Mais entendons-nous bien, ne pas focaliser son attention sur le passé, ne veut pas dire le nier ! Lors de mes consultations, si des informations issues du passé remontent sans focalisation particulière sur le passé, sans effort, spontanément à la conscience dans le cadre de ce qui pose problème ici et maintenant alors nous les traitons comme pour ce qu’elles sont des informations qui se présentent dans un processus naturel de résolution de problème et de changement, rien de plus rien de moins.

Concrètement, comment se déroule une séance ?

D’abord je demande à la personne ce qu’elle veut, c’est vraiment ma première question :
« qu’est-ce que vous voulez ? ». Cette étape est, en elle-même fondamentale. Outre le fait qu’en tant qu’accompagnatrice d’un processus de changement, il m’est nécessaire de savoir ce que la personne qui me consulte désire vivre, changer ou réaliser dans sa vie. Bien souvent les personnes ressentent un mal-être mais ne savent pas mettre leurs insatisfactions en perspective avec leurs réels désirs, et ce qu’elles vivent ICI et MAINTENANT.

Mon accompagnement aide à faciliter et libérer cette découverte de ce qui est vraiment important pour la personne ici et maintenant. Pour le reste, il m’est impossible de décrire la suite de la consultation parce qu’il n’y a pas de consultation type. Il est impensable de considérer une femme de 75 ans qui me consulte parce qu’elle a perdu sa mère de 102 ans et une jeune femme de 25 ans qui se sent mal dans son nouveau travail sans savoir pourquoi, avec l’idée d’un déroulement préétabli de consultation. Chaque consultation est unique. Elle se construit au fur et à mesure en fonction des intentions de la personne, du contexte qui l’amène à consulter et de ce dont elle a besoin pour avancer dans sa vie ici et maintenant, mais aussi de qui je suis devenue moi aussi. 
Nous changeons tous en permanence, ce qui m’inclut dans le processus. Ainsi chaque relation est VRAIMENT unique : je suis moi aussi chaque fois une personne différente.

Nous trouvons ensemble les clés de sa difficulté de vie, ici et maintenant, selon un processus fluide qui implique naturellement toutes les dimensions de l’être.

La personne définit son rythme

C’est la personne qui consulte qui définit, par le ressenti qu’elle en a, si les clés qui se révèlent au cours la consultation sont « justes, bonnes et vraies » pour elle. Ce ressenti est directement lié à cette dimension qui caractérise l’approche transpersonnelle : celle de l’Etre intérieur ou Soi (qui implique pleinement le corps). Ainsi, ma présence est véritablement un accompagnement par lequel je partage bien sûr mes compétences, mes connaissances, mon expérience, mes talent, mon « alignement » mais dans lequel c’est la personne qui consulte qui reste toujours maître de son chemin.

Ma joie c’est de voir repartir une personne qui se sentait perdue, triste, bloquée et insécure dans sa vie remplie d’énergie, avec le sourire aux lèvres et ce qu’il lui faut pour aller de l’avant dans sa vie. L’approche transpersonnelle ne crée pas de dépendance au contraire, elle libère du praticien lui-même. Ma joie c’est aussi d’entendre parfois quelqu’un qui a fait le lien avec son Etre intérieur dire : « maintenant, je sais que je ne serais plus jamais seule », non pas parce qu’elle aurait trouvé quelqu’un pour l’aider mais parce qu’elle s’est trouvée elle et en elle cette dimension, toujours présente, qui saura la guider.

Médecine conventionnelle vs médecines alternatives

Selon vous, un dialogue est-il possible entre la médecine conventionnelle et les médecines alternatives ?

Selon moi il est juste impossible qu’il n’y ait pas de dialogue entre la médecine conventionnelle et les médecines alternatives.

La première raison est tout simplement liée au progrès de la science. Rien ne peut arrêter le progrès scientifique. La médecine actuelle n’a déjà rien à voir avec la médecine d’il y a à peine 20 ans. Comme je l’ai dit la médecine du futur sera une médecine complètement énergétique. Les premiers appareils existent déjà.

La seconde raison est éthique. Tous les métiers qui entrent dans la relation d’aide, et la médecine en fait partie, ont pour vocation d’aider les individus à mieux vivre, à mieux prendre soin d’eux-mêmes, de leur corps et de les aider à se guérir et guérir leur corps quand c’est nécessaire. Il y a de plus en plus de praticiens, de thérapeutes et de chercheurs indépendants qui écrivent des livres, des articles ou qui sont interviewés comme vous le faites avec moi. L’information circule de plus en plus. A mes yeux, il est juste impossible que des médecins qui se dédient cœur et âme aux mieux être de leurs patients ne s’intéressent pas à ces médecines alternatives et ne les intègrent pas d’une manière ou d’une autre, par divers types de collaborations, dans leurs approches du patient.

La troisième raison est sociale. La santé fait partie des préoccupations collectives, économiques, politiques et sociales. Nous ne devons pas oublier que la définition de la santé de l’OMS intègre une dimension sociale « la santé est un bien-être physique, mental et social et ne se résume pas à l’absence maladie ou d’infirmité ». Dans ces temps de changements mondiaux, il est, à mes yeux, impossible que l’on puisse se permettre d’occulter les approches alternatives qui intègrent dans leurs fondements, une dimension collective et sociale, des solutions, ici et maintenant, pour le futur, ce qui est le cas de l’approche transpersonnelle.

Chantal Attia
Interview pour « Macro livres Editions »

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