Il y a la théorie et il y a la pratique. C’est par l’expérience vécu que nous comprenons vraiment et que nous grandissons à nous-même. J’ai l’habitude de dire que s’il suffisait de lire des livres pour connaître nous n’aurions pas besoin de nous incarner.
A la fin de la vidéo « La vérité sur le coronavirus » je dis que je suis bloquée chez moi, à cause d’une inflammation au genou, pas à cause du virus.
Sachant que le corps sait parfaitement ce qu’il a à faire j’ai laissé mon corps faire son travail naturellement.
Au bout de quelques jours, j’étais contente de pouvoir me déplacer à nouveau comme je voulais
Et puis voilà, qu’à peine terminée, l’inflammation repart !
C’est donc que je n’ai pas résolu, le problème.
Mon corps a fait son travail, mais moi est-ce que j’ai fait le mien ?
Visiblement non, puisque l’inflammation est repartie, apparemment sans raison.
Sans raison, vraiment ?
Il n’y a pas de « Diable » qui distribue les « maladies » ni de méchant « micro-organisme » qui me veut du mal.
Alors ?
Je veux définitivement résoudre le problème.
Commençons par le début :
« Ma santé dépend de MOI, pas de mon médecin ».
Depuis l’enfance, on conditionne les individus à croire que leur santé dépend de quelqu’un d’autre qu’eux.
Cela commence par le dentiste : tous petits déjà on conditionne les enfants à l’idée que le corps ne sait pas, plus tard, cela sera le médecin qui prendra le relais du dentiste.
(En fait avec une bonne alimentation et une hygiène correcte, la salive est parfaitement conçue pour maintenir la bouche et les dents en bonne santé, il n’y a aucune raison d’être tyrannique avec le « brossage des dents »…)
Avec l’affirmation « ma santé dépend de MOI, pas de mon médecin »,
je reprends le pouvoir sur mon corps donc mon pouvoir de guérison.
Quand Jésus-Christ dit « il sera fait selon votre foi » c’est à dire selon votre croyance, il ne fait qu’honorer pleinement le pouvoir de l’individu sur son corps.
Il y a tellement de gens qui s’attribuent un « don » de guérir les autres… Tellement de gens qui sont heureux d’avoir un « pouvoir » à exercer sur les autres…
« Ma santé dépend de MOI, pas de mon médecin ».
A quelle représentation symbolique correspond l »inflammation » ? La colère !
Voici ce que dit « Le grand dictionnaire des malaises et maladies de Jacques Martel » (à chacun de considérer les informations qui lui sont utiles)
« L’inflammation est l’expression corporelle d’une inflammation intérieure, je suis enflammé(e) et enragé(e) par quelque chose ou quelqu’un. Je suis rouge de colère, bouillant(e) ». L’inflammation me donne une indication que je vis une situation dans ma vie à laquelle je ne veux pas renoncer, je résiste au changement. Je lutte avec colère. Ce dont j’avais besoin avant pour me supporter et m’aider à avancer n’a peut-être plus besoin d’être. La contradiction que je vis m’enflamme. Cela m’irrite et je deviens exaspéré(e) ».
Cela ne fait aucun doute, mon genou est bouillant ! Qui plus cette inflammation placée au genou qui m’empêche de marcher : c’est mon autonomie qui est en jeu.
Il me revient alors les mots que j’ai prononcé dans la vidéo à propos de mon genou : « quand je suis entrée chez le médecin je trottais comme une gazelle, en le quittant le soir même j’avais un problème au genou « .
Tout d’un coup je comprends : je rumine !
Je suis en train de refaire la même chose que ce j’ai déjà fait dans ma vie qui m’a déjà rendue malade ! Cela fait des mois que je rumine ma colère contre ce médecin ! Des mois que je me comporte en victime et que je me rends malade.
- Oui, ce médecin n’a pas eu le comportement approprié que j’attendais et auquel je pouvais m’attendre
- Oui, ce médecin était plus intéressé par vite terminer sa consultation (qui a duré 7 minutes montre en main) et les 60€ qu’il m’a demandé.
- Oui, il a joué à « domination-soumission » avec moi, à « j’ai le pouvoir (sur vous, sur votre corps) mais vous ne l’avez pas »
- Oui, il a ri de moi.
- OUI, il a dit des stupidités
- Oui, il a un pouvoir d’influence (par son « statut »)
Dans cette situation, je peux choisir d’être une victime. D’une certaine manière c’est compréhensible quand nous allons voir un médecin ce n’est pas pour qu’il rit de nous et/ou ne s’intéresse qu’à notre carte vitale….
Mais est-ce que cela fait de moi une victime ? Est-ce que tout d’un coup c’est à cause de lui que j’ai une inflammation du genou ?
Non.
C’est mon corps, c’est mon cerveau, c’est mes choix : c’est bien à « cause » de moi que j’ai une inflammation.
Ce n’est pas toujours facile de sortir de la position de victime mais ai-je le choix ?
Qu’est-ce que je gagne à ruminer ?
- être en colère (je n’ai pas ce que je veux)
- « c’est pas juste ! » (victime)
Qu’est-ce que je perds à ruminer ?
- Je ME maintiens dans l’impuissance
- ce qui m’enlève mon POUVOIR créateur
- mon autonomie (pour moi l’image qui s’associe à « autonomie » c’est « marcher debout sur ses 2 jambes »)
Nous avons un système immunitaire pour nous maintenir en bonne santé. Si nous ne sommes pas en guerre contre nous-même ou autrui, notre système immunitaire fait parfaitement bien son travail.
Finalement pourquoi suis-je en colère ? Pour quelques mots ?
Je me rends malade pour quelques mots ?
Au lieu d’être choquée par son comportement et ce qu’il m’a dit, j’aurais pu éclater de rire de tant d’ignorance !
Maintenant que je prends conscience de mon attitude, c’est tellement, tellement ridicule !
J’ai envie d’éclater de rire !
Le grand dictionnaire des malaises et des maladies dit :
« Ce dont j’avais besoin avant pour me supporter et m’aider à avancer n’a peut-être plus besoin d’être. »
Absolument ! Ce dont j’avais besoin avant n’a plus besoin d’être. Depuis ma visite chez ce médecin et cette inflammation à laquelle je ne m’attendais absolument pas, j’ai continué mon processus de guérison que j’avais déjà commencé bien avant cette inflammation : j’ai grandi.
Je suis devenue vraiment autonome.
Je n’ai plus besoin d’aucune béquille.
Mon cœur s’est ouvert encore plus, pour moi ( par extension pour les autres), pour être capable maintenant de compassion et plus de colère. Amour de moi, compassion à l’égard de ce médecin, pour être maintenant capable de dire : « c’est juste de l’ignorance ».
Je souris.
Maintenant, je suis en Paix.
Et guérie.
C’est ce qu’est la santé : la Paix.
Que la Paix, la Santé et l’Abondance soient dans votre vie !